1968-2018 : 50 gestes pour dire la contestation

dates: 
lieu:  Contredanse, Rue de Flandre, 46, 1000 Bruxelles

Table ronde, mercredi 16 mai, de 17 h à 19 h

Que s’est-il passé (ou pas) en 68 à Bruxelles dans le champ de la danse ? Qu’est-ce que cela a questionné chez les artistes chorégraphiques (prise de parole / prise de gestes, contre-culture…) ? Comment de grands mouvements de contestation dans le monde, principalement aux Etats-Unis (Black Power, guerre du Vietnam…) ont influencé la danse d’ici ? Quel héritage ? Quel geste pour quelle contestation aujourd’hui ?

Dans le cadre de l’opération « 2018, année de la contestation », initiée par la Ville de Bruxelles, Contredanse s’interroge sur la portée subversive et politique du geste. La table ronde aborde l’influence de Mai 68 sur les pratiques chorégraphiques à Bruxelles et en Belgique, mais interroge aussi l’impact d’autres grands mouvements de contestation de l’époque.

A travers des témoignages d’artistes, la table ronde s’articulera en deux temps : un volet historique présenté par Stéphanie Gonçalves (post-doctorante au FNRS,ULB) et Staf Vos (historien de la danse, Het Firmament) suivi d’un volet contemporain sur le phénomène de la contestation en danse en Belgique et ailleurs. Avec Jean-Marc Adolphe, fondateur de la revue Mouvement, essayiste et critique, Jean-Philippe Van Aelbrouck, directeur général adjoint du Service général de la Création artistique (Fédération Wallonie-Bruxelles), Céline Curvers et Lisa Da Boit, danseuses et chorégraphes / Compagnie Giolisu, Denise Luccioni, auteure et traductrice, Thierry Smits, chorégraphe.

La bellone rue de flandre 46, 1000 bruxelles Entrée libre.

réservation souhaitée : yota@contredanse.org