Littéradanse. Quand la chorégraphie s'empare du texte littéraire


Mélanie Mesager, Littéradanse. Quand la chorégraphie s'empare du texte littéraire. Fanny de Chaillé, Daniel Dobbels, Antoine Defeu et Jonah Bokaer, Paris, L'Harmattan, 2018, 232 pages. 

La présente étude propose de se glisser dans les détails de quatre chorégraphies pour s'intéresser aux frottements des mots et de la danse. Les lectures croisées du Groupe de Fanny de Chaillé, de la « Fille qui danse » et d'« Un son étrange de Daniel Dobbels » et du Museum of nothing de Jonah Bokaer et Antoine Dufeu permettent de proposer plusieurs façons d'appréhender les inflexions réciproques de la littérature et de la danse, tout en conservant l'aspect ténu et mouvant du sens qui se construit dans le temps d'un spectacle.

 

Après des études de linguistique médiévale, Mélanie Mesager s'est consacrée à la danse. Titulaire d'une agrégation de lettres modernes et d'une certification complémentaire en danse, elle enseigne la littérature et la théorie de la danse dans le secondaire avant de se consacrer à ses propres créations. Aujourd'hui, elle mène des recherches au département de danse de l'université Paris 8 sur des formes de danse contemporaine qui mobilisent le langage verbal.

 

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